Avec Bernard Crettaz
Lors d'un café mortel, on parle surtout de la fin de vie, de la mort et du deuil. Mais des témoignages sont entendus sur d'autres blessures et d'autres "fins" dans la vie. C'est ainsi que la souffrance des amours perdues est fréquemment évoquée, car le deuil d'un amour peut être aussi difficile à vivre que la mort elle-même. Pour cette raison, le prochain café mortel à la Ferme-Asile est directement consacré aux blessures du coeur amoureux, blessures complexes où échec, culpabilité, colère se mêlent parfois à la tristesse. Au cours d'un échange direct, sans fard et sans hypocrisie, nous découvrirons ensemble que nous sommes peut-être tous les "restes" de nos amours perdues.
Entrée libre, chapeau à la sortie